Ce n’est pas trop simple de comprendre l’état d’esprit et le comportement des participants des groupes A et/ou B depuis quelques temps.
Contrairement à d’autres, je constate qu’il y a plutôt du monde pour faire le groupe A mais avec la ritournelle « tous derrière et lui devant », enfin quelques uns devant !. Car c’est le groupe B qui me semble en perte de vitesse. Il y a apparemment moins de volontaires pour prendre un peu de vent et mener le train du paquet.
Je vois qu’on propose des règles au départ ou en cours de route, c’est bien. Mais qu’on les oublie vite en fonction des circonstances, là c’est moins bien. Je constate que quand certains se sentent en forme et que tout se passe bien, l’esprit de solidarité et de bienveillance vis à vis des plus faibles semble avoir disparu. Attendre une petite minute au sommet des côtes un peu ardues me semble réalisable sans mettre à mal cette p…n de moyenne (désolé, c’est pas mon habitude, mais…).
Avec un tel fonctionnement, ne soyons pas étonnés que certains « rouleurs » préfèrent aller voir ailleurs. Franchement, ce n’est vraiment pas agréable de s’entraîner à la Chapelle dans ces conditions.
Bon, et puis finalement, la partie de manivelles en comité restreint d’hier matin sur 40 km s’est bien terminée. Mais, on ne pouvait raisonnablement pas s’arrêter au stand de Notre-Dame-des-Landes ;-), nos réservoirs étaient, comment dit-on déjà, encore plein… d’amertume.
